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Peut on tout obtenir avec l'argent?

17 juin 2011

Bibliographie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Des individus prêts à vendre un organe, Florence Meney,

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/dossiers/organes/individus.html



Transfert record pour Fernando Torres,

http://www.lexpress.fr/actualite/sport/transfert-record-pour-fernando-torres_957492.html

publié le 01/02/2011

 

 

Mères porteuses

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/famille/le-marche-clandestin_484570.html

publié le 15/09/2005

 

Un juge mis en examen pour corruption passive

CÉLINE DEBETTE et DIDIER SPECQ

www.nordeclair.fr/Actualite/2011/01/21/un-juge-mis-en-examen-pour-corruption-pa.shtml

Publié le vendredi 21 janvier 2011

 

L'argent ne fait pas le bonheur, et c'est l'Insee qui le dit

Thomas Bronnec,

http://www.lexpress.fr/actualite/economie/l-argent-ne-fait-pas-le-bonheur-et-c-est-l-insee-qui-le-dit_689569.html

publié le 06/11/2008 



 

 

 L'argent fait le bonheur... jusqu'à 4900 euros par mois

http://recherche.lefigaro.fr/recherche/access/lefigaro_fr.php?archive=BszTm8dCk78atGCYonbyzsbBMXzv23H%2FrbFE4gstAGZAt8DGYm6k7uqMGh%2BTzhxFu2IGtjAq08M%3D

 Sophie Amssili

 publié le 07/09/2010

L’argent n’achète pas tout !  Méric de Saint-Cyr

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/l-argent-n-achete-pas-tout-22134

publié le mardi 10 avril 2010

 

 

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17 juin 2011

L’argent n’achète pas tout !

Le pauvre monde ne cesse de courir après l’argent, on se demande bien pourquoi. Car en vérité, l’argent ne peut pas tout acheter et, surtout, il ne peut absolument pas acheter ce dont on a le plus envie, ce dont on a vraiment le plus besoin.L’argent permet seulement d’acheter l’illusion grâce à laquelle on oublie que rien de ce qui est vraiment essentiel ne peut s’acheter :

L’amour :L’homme tombe amoureux de telle jeune fille et il espère être aimé d’elle. Ça ne marche pas toujours ! Et l’argent n’y peut rien. La fille qui tombe amoureuse d’un homme parce qu’il a beaucoup d’argent est seulement vénale, il n’y a pas d’amour réel dans une telle relation !

La difformité, l’infirmité :Combien d’hommes et de femmes naissent avec une infirmité, une difformité, un handicap ? S’il est vrai que la médecine a fait des progrès considérables, l’argent ne peut en aucun cas acheter ce que la médecine ne sait pas corriger, réparer ou rectifier. Elle ne sait pas faire repousser une jambe manquante ou un doigt coupé. Elle ne sait même pas faire repousser les cheveux du chauve !

Le destin :
Ces pauvres gens qui défilent chez les voyantes, astrologues ou cartomanciennes sont autant à plaindre qu’à blâmer. Qu’espèrent-ils ? Les diseuses de bonne aventure leur vendent de l’illusion car le destin n’est qu’un champ d’incertitudes.

Le temps qui passe et l’âge que l’on a :Les riches ont souvent recours à des moyens artificiels pour retarder les effets du vieillissement. S’ils ont des cheveux blancs, ils les cachent avec une teinture, si leur peau se ride et vieillit, ils dépensent beaucoup d’argent pour faire une chirurgie esthétique. Ce gaspillage d’argent ne change rien à la réalité : le temps passe, les cellules vieillissent, les cheveux blanchissent même s’ils sont chimiquement colorés. Les gens qui trichent avec leur âge s’auto-illusionnent. Ils vieilliront et mourront quand même et leur cher argent n’y changera rien.

La santé :Les riches ne sont pas plus à l’abri que les pauvres des maladies graves. Certes, l’argent permet de mieux se soigner, d’avoir du confort et de l’hygiène. Mais il y a des maladies dont on ne guérit pas, avec ou sans argent, comme les maladies de Creutzfeldt-Jacob, Huntington, Parkinson, la myopathie, la drépanocytose, la sclérose en plaques, le cancer, le sida, la chondrodystrophie, etc.

La mort :L’argent ne sert à rien face à la mort. Même si le mort est très riche, cela ne lui permet pas de revenir dans le monde des vivants. Les morts riches sont aussi morts que les morts pauvres. La résurrection ne s’achète pas. Curieusement, aux USA, certaines entreprises proposent de congeler votre corps une fois que vous êtes mort, dans le but de vous ramener à la vie le jour où la science en sera capable. Quelle illusion !

Le bonheur :
Tout le monde connaît le proverbe « L’argent ne fait pas le bonheur mais il y contribue ».Il est bien vrai que l’argent ne permet pas d’acheter le bonheur ; combien de gens riches ou aisés font des dépressions nerveuses ? C’est même le syndrome le plus répandu chez les gens aisés. Les pauvres n’ont pas le temps de “gamberger” et de s’angoisser. Les soucis sont un passe-temps de bourgeois ! Ceux qui vivent dans la misère se préoccupent de survivre, il n’en ont rien à faire de chercher la sagesse ou la vérité, il cherchent d’abord à manger. Et puis, comme dit un autre proverbe, « plaie d’argent n’est pas mortelle »...Bref, il n’est même pas sûr que l’argent contribue au bonheur. On observe très bien dans notre société comment l’argent entretient plusieurs sortes de névroses : vice du jeu, achats compulsifs, besoin de dépenser dans les boutiques, d’acheter n’importe quoi, de s’endetter, l’acte d’achat devenant une sorte de rituel, un geste addictif compensateur, un toc, souvent lié à une névrose (recherche d’une sensation de puissance, “j’achète donc je suis”,projection de ses angoisses ou de ses malaises sur le faux prétexte du manque, du besoin). Freud avait parfaitement démontré comment l’argent est intimement lié à la névrose maniacodépressive.

La bonne ou la mauvaise récolte :Bien qu’il y ait fort à parier qu’un jour l’homme, à la faveur du progrès technologique, parviendra à maîtriser la climatologie et la production agricole, aujourd’hui, l’argent n’est capable d’exercer aucun pouvoir sur le temps qu’il fera demain. Les milliards ne peuvent acheter ni la pluie, ni le beau temps et ne peuvent empêcher ni les inondations, ni la sécheresse, ni les tornades.

La richesse pour tous :étonnant paradoxe, la richesse n’existe qu’en proportion de la pauvreté. Si tout le monde était riche, qui ferait le travail ? La richesse de quelques-uns va nécessairement de pair avec la pauvreté de beaucoup d’autres.

La qualité de l’eau que l’on boit :Le monde actuel est pris en otage à l’échelle planétaire par un grand fléau, celui de la pollution. Il n’y a plus moyen, aujourd’hui, de trouver une eau potable parfaitement pure. La santé de l’humanité et des autres êtres vivants est menacée par une eau polluée par des résidus industriels toxiques. Les mers, les lacs, les cours d’eau, l’eau de pluie, tout est “sale”. Même l’eau achetée en bouteille n’est pas pure à cent pour cent. Et l’argent n’y peut rien !

La pollution : Le fléau planétaire de la pollution est tel qu’il n’existe plus un lieu sur Terre où l’on soit à l’abri des effluves polluants. Les traces de la pollution mondiale se retrouvent aussi bien dans les glaces de l’Antarctique qu’au fin fond de la forêt amazonienne. Certes, il y a des endroits où c’est pire, mais le fait est qu’on aura beau être riche, il n’existe aucun refuge, aucun sanctuaire qu’on puisse se payer pour être assuré d’être parfaitement à l’abri.

L’intelligence : Voilà encore quelque chose qui ne se vend pas sur les marchés ! À l’ère des manipulations génétiques et du décryptage du génome humain, on sait que l’intelligence ne dépend d’aucun gène, n’est pas réservée aux fortunés et qu’on ne saura jamais inventer une pilule pour devenir intelligent.

Le génie artistique : ne peut ni se vendre, ni s’acheter... Aucune chance non plus de voir de sitôt la pillule qui fera de vous un nouveau Rembrandt ou un nouveau Chopin !

Les espèces animales menacées ou disparues :
Tout l’or du monde ne rendra malheureusement pas à la vie les créatures massacrées et exterminées par l’homme. Nombre d’espèces animales ont aujourd’hui disparu : le dernier Aurochs en 1627, L’hippotrague bleu africain éliminé par l’Homme en 1799 ; les derniers zèbres couaggas vers 1870-1880, la rhytine de Steller, le plus grand des siréniens (8 mètres de longueur), localisée dans les mers entourant les îles du détroit de Béring, a disparu en 1768, soit vingt-sept ans après sa découverte (1741), exterminée par les marins et les chasseurs de fourrure. Ont également disparu les notongulés, les édentés géants (Glyptodon ) d’Amérique du Sud, les grands lémuriens de Madagascar et, tout récemment, en 2006 disparaissaient les derniers spécimens de dauphins de Chine, le lipotes vexillifer.

Les oiseaux n’ont pas été épargnés : la perruche de la Caroline exterminée en 1914, le grand pingouin des îlots de l’Atlantique Nord, incapable de voler, constituait une proie facile ; le dernier a disparu vers 1844. Le dronte de l’île Maurice, le dodo de la Réunion et le solitaire de Rodriguez, trois gigantesques pigeons terrestres ont été anéantis, le premier vers 1680, les deux autres aux cours du XVIIIe siècle.

Dieu :
Même si de nombreuses sectes et religions ont, depuis la nuit des temps, cherché à monnayer la clémence et la miséricorde divine, Dieu, si tant est qu’Il existe, n’est pas à vendre et ne peut pas s’acheter !

L’argent ne permet pas non plus d’acheter la gentillesse, la bonté, la générosité, la sympathie, l’amitié, etc.

 

Source:

 

 

 

 

17 juin 2011

• L'argent fait le bonheur... jusqu'à 4900 euros par mois

Gagner plus rendrait plus heureux, selon une étude menée par deux économistes américains. Mais ce n'est plus vrai au-delà d'un seuil qu'ils fixent à 75.000 dollars par an, soit 4900 euros par mois.

 

La très sérieuse revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences vient de publier une étude qui dément en partie le proverbe selon lequel l'argent ne fait pas le bonheur. Réalisée par Daniel Kahneman, Prix Nobel d'Economie en 2002, et son collègue de l'université de Princeton, Angus Deaton, l'étude porte sur le bien-être de 450.000 Américains interrogés en 2008 et en 2009 pour l'indice Gallup-Healthways.

Les auteurs en viennent à la conclusion que l'argent fait bien le bonheur... mais jusqu'à un certain point. Le seuil est défini à 75.000 dollars par an (environ 58.600 euros), soit près de 4900 euros par mois, sans que l'étude ne distingue le nombre de personnes qui composent le foyer. Si, comme 10% des Américains, votre revenu est supérieur à cette somme, inutile de vous évertuer à gagner plus et donc, inutile pour l'Etat de chercher à vous donner plus. D'après les deux économistes, vous n'en serez pas plus heureux.

L'impression d'avoir réussi sa vie

«Au-delà de 75.000 dollars dans les Etats-Unis contemporains (...), une augmentation du revenu n'amène ni à ressentir du bonheur ni à être soulagé du malheur ou du stress, même si cette hausse des revenus continue à améliorer l'évaluation que les individus font de leur vie», écrivent les deux économistes. Autrement dit, gagner toujours plus d'argent renforce le sentiment d'avoir réussi sa vie mais ne rend pas nécessairement plus heureux.

«Peut-être que 75.000 dollars est un seuil au-delà duquel des hausses de revenus n'améliorent plus la capacité des individus à faire ce qui compte le plus pour leur bien-être émotionnel, comme de passer du temps avec ceux qui leur sont chers, éviter la douleur et la maladie, et profiter de leurs loisirs», ont encore avancé les auteurs.

Pour tous les autres, soit la vaste majorité de la population dont le revenu ne dépasse pas ce seuil, leur bien-être émotionnel est bridé par leurs préoccupations financières. A plus forte raison, la pauvreté fait le malheur: «la faiblesse des revenus exacerbe la douleur émotionnelle qui accompagne des malheurs comme le divorce, ou le fait d'être en mauvaise santé ou seul», écrivent Daniel Kahneman et Angus Deaton.

Rassurants, les auteurs ajoutent tout de même dans un entretien : «comme les autres études sur le bien-être, nous avons constaté que la plupart des gens sont plutôt heureux et satisfaits de leurs vies».

 

Source: Le figaro

Date:    07/09/2010

Auteur: Sophie Amssili

Résumé: Cette étude démontre que l'argent ne fait le bonheur que jusqu'à un certains seuil, celui 4900 euros par mois.

 

17 juin 2011

L'argent ne fait pas le bonheur

Dans son traditionnel "Portrait social de la France", l'institut national de la statistique publie une étude sur le bonheur. Pour Cédric Afsa, le co-auteur de cette étude, l'impact de l'argent sur le bien-être est très modeste.

L'Insee publie une étude sur le bonheur. Comment les économistes s'y prennent-ils pour le mesurer ?
Ce n'est pas quelque chose de facile. Nicolas Sarkozy a mis en place une commission, présidée par
Joseph Stiglitz, pour réfléchir à cette question. Nous nous sommes basés sur une étude conduite chaque année depuis 1975, par Eurobaromètre, qui demande aux personnes interrogées leur degré de satisfaction sur la vie qu'ils mènent.

Le bien-être en économie, c'est donc avant tout un sentiment,  qui évolue au cours de la vie. Il est déterminé par des facteurs que l'on peut observer et mesurer : le revenu, la santé, le patrimoine. Mais aussi, et même surtout, par des facteurs plus psychologiques. : l'optimisme, la comparaison avec les autres, l'adaptation de nos attentes à la réalité... On peut se fabriquer notre propre malheur si on se fixe des objectifs inatteignables.

Quel impact a l'argent sur le bonheur ?
Il a clairement un impact positif sur l'expérience du bien-être, et ce à tout âge. Mais cet impact diminue tout au long de la vie. Comme le montre la courbe ci-dessous, les Français se sentent plus heureux après 50 ans, avec un pic de bonheur à 65 ans, alors que la courbe du revenu atteint, elle, son maximum à 45 ans.

Il faut aussi souligner que l'impact de l'argent, s'il est positif, est relativement modeste. Nous avons construit une autre courbe en supposant que le revenu reste identique à tout âge. Elle n'a pas une forme très différente...

Notre étude le confirme : l'argent ne fait pas le bonheur...

La crise a-t-elle renforcé l'intérêt des économistes pour le bonheur ?
Les économistes publient beaucoup de travaux sur ce thème, et ce n'est certainement pas un hasard. La crise a sans doute aussi redonné de l'intérêt pour ce type de recherche, qui se nourrit également des doutes sur la capacité de la croissance économique à générer le progrès social.

 

Source:http://www.lexpress.fr/actualite/economie/l-argent-ne-fait-pas-le-bonheur-et-c-est-l-insee-qui-le-dit_689569.html

Auteur: Thomas Brennec

Résumé: Cette étude nous démontre que l'argent ne rend pas forcément plus notre bonheur.

17 juin 2011

Un juge mis en examen pour corruption passive

Pierre Pichoff, 58 ans et juge au tribunal de grande instance de Béthune, est soupçonné d'avoir monnayé des décisions alors qu'il présidait des audiences correctionnelles.


Hier, 13 h, dans un petit couloir du tribunal de grande instance de Lille. Un homme d'une cinquantaine d'années, en jeans, chemise à carreaux verts et pull bleu, comparaît devant le juge des libertés et de la détention (JLD), assisté de son avocat béthunois, Me Bruno Dubout.
Cet homme, c'est Pierre Pichoff, magistrat au tribunal de grande instance de Béthune. Une personnalité qu'on voit d'habitude dans des vêtements autrement plus solennels.


Interpellé aux aurores mardi dernier, il a d'abord été placé en garde à vue et entendu par la brigade financière de la police judiciaire de Lille, chargée de l'enquête. Une instruction ouverte après que « la police du département du Pas-de-Calais eut reçu deux courriers anonymes à l'automne et au printemps 2010 faisant état de pratiques peu déontologiques d'un juge du tribunal de grande instance de Béthune », explique le procureur de Lille, Frédéric Fèvre, sans livrer plus de détails sur les faits. Pour autant, selon des sources proches du dossier, il serait soupçonné d'avoir perçu de l'argent (plusieurs milliers d'euros au cours des quatre dernières années), en échange de décisions complaisantes. Et ce alors qu'il présidait des audiences correctionnelles.
Trois mises en examen
Mais le magistrat béthunois n'est pas le seul mis en cause dans cette affaire. Deux autres hommes, qui auraient servi d'intermédiaires, sont également passés devant les juges d'instruction Fabienne Atzori et Ida Chafaï, magistrate spécialiste des affaires financières, à l'issue de leur garde à vue. Il s'agit de Jean-Marc Bouche et José Lefrère. Le premier, ancien adjoint au maire de Montigny-en-Gohelle et ex-vice-président de la chambre de commerce de Lens, et dont le nom apparaît déjà dans le dossier Dalongeville (voir ci-dessous), a finalement été mis en liberté sous contrôle judiciaire. Le second, José Lefrère, un investisseur immobilier qui souffre d'une mauvaise réputation mais dont le casier judiciaire affiche uniquement de vieilles contraventions routières, a quant à lui été placé en détention provisoire.
Restait Pierre Pichoff. Le procureur Éric Devos a réclamé le huis clos des débats devant le juge des libertés et de la détention. On sait cependant que M e Dubout a demandé un « débat différé » afin de pouvoir fournir des attestations prouvant que son client peut être accueilli chez une parente, loin de Béthune. Ce dernier qui, devant la juge d'instruction, ne s'est pas exprimé, selon le parquet de Lille, a finalement été placé en détention provisoire en attendant sa nouvelle comparution lundi devant le JLD.
Il est mis en examen pour « corruption passive », tout comme les deux autres hommes, « trafic d'influences » et « tentative d'escroquerie » et encourt 10 ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende. Pierre Pichoff, de son côté, nie l'essentiel.
Les éléments matériels, à part quelques SMS, semblent pour l'instant faibles. L'enquête de la police judiciaire continue.

Source:region@nordeclair.fr

Auteur:CÉLINE DEBETTE et DIDIER SPECQ

Résumé: L'argent à des buts bien différents selon les personnes certains se laissent aller à la corruption en échange d'une somme d'argent.


 

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17 juin 2011

Mères porteuses

La France interdit d'y recourir, mais les couples en mal d'enfant cherchent par tous les moyens à contourner la législation. Certains passent par les pays qui autorisent cette pratique. D'autres trouvent ici même des ventres à louer. Un bébé, mais à quel prix?

Rita a 20 ans, la peau mate et des formes épanouies. Avec sa mère, ses trois petits frères et sa fille de 1 an, elle habite une cité de la banlieue parisienne et vivote grâce à l'allocation de parent isolé. En juin, elle a déposé une annonce sur un site Internet: «Je veux être mère porteuse.»

Une annonce parfaitement illégale. Un arrêt de la Cour de cassation de 1991, puis les lois de bioéthique de 1994 ont proscrit le recours à une mère porteuse au nom de l' «indisponibilité du corps humain». La France ne plaisante pas avec la procréation médicalement assistée (PMA), étroitement corsetée. «Les pouvoirs publics veulent éviter les trafics d'enfants, explique la juriste Françoise Dekeuwer-Défossez, spécialiste du droit de la famille. Or la gestation pour autrui [GPA] est considérée comme de la vente de bébés.» Pour se soustraire à l'interdit, des couples de Français vont chercher une mère porteuse dans les pays qui les autorisent. D'autres, désespérés de devoir patienter deux à trois ans pour un don d'ovocytes, se rendent là où la rémunération des donneuses est acceptée. Quelques-uns violent carrément la loi en recrutant des mères porteuses en France.

Rita est l'une de ces femmes prêtes à louer clandestinement leur ventre. A quel prix? Attablée dans un café du quartier Montparnasse, elle hésite: «A vous de voir. Vous pouvez tout me donner à la fin, si vous préférez.» Elle raconte qu'un couple lui a proposé une misère, 150 euros. «Sur Internet, dit-elle, j'ai vu que c'était entre 15 000 et 20 000 euros.» Elle ajoute qu'elle veut bien porter ce bébé, pas le fabriquer avec ses ovules à elle. «Ce sera votre enfant, pas le mien.»

Source: lexpress.fr

Date:15/09/2005

Résumé: Cetaines femmes sont prêtent à louer leur ventre pour donner vie contre une somme d'argent alors que d'autres payerons pour avoir un enfant par cette méthode

17 juin 2011

Transfert record pour Fernando Torres

La star de Liverpool rejoint les Blues de Chelsea. Le montant du transfert avoisinerait les 58 millions d'euros.

Chelsea a spectaculairement tiré le rideau sur le mercato d'hiver en s'offrant l'Espagnol Fernando Torres, la star de Liverpool, juste avant la clôture des transactions, pour un montant record dans le football anglais. 

Le marché a été conclu lundi soir à l'issue d'une intense journée de négociations qui ont impliqué, outre les "Blues" et les "Reds", le club de Newcastle et son jeune attaquant Andy Carroll. Le montant final de ce contrat de cinq ans et demi n'a pas été révélé, mais les médias britanniques évoquait la somme de 50 millions de livres (58 millions d'euros). 

Ne voulant pas se retrouver sans remplaçant pour Torres, le club de la Mersey a dû lui aussi casser sa tirelire pour attirer l'espoir anglais pour un montant supérieur à 32 millions de livres (37 millions d'euros). Carroll, 21 ans, sera associé au buteur uruguayen Luis Suarez, dont le transfert en provenance de l'Ajax a aussi été scellé lundi pour 26,5 millions d'euros. 

Torres, 26 ans, avait transmis samedi à son club une demande écrite de transfert, mettant ainsi la pression sur ses dirigeants qui venaient de rejeter une première offre de 35 millions de livres de Chelsea. 

Son désir de quitter un club écarté depuis deux saisons de la course aux titres et trop peu ambitieux à son goût sur le marché des transferts n'était plus qu'un secret de polichinelle depuis plusieurs mois. Mais encore fallait-il que les "Reds" y accèdent. 

Ces derniers mois, le joueur n'avait plus le même rayonnement qu'à son arrivée en Angleterre, à cause des blessures, mais aussi d'une envie de jouer de plus en plus fréquemment mise en doute, malgré un total correct de neuf buts en Premier League cette saison. 

Il paraissait loin le temps où "El Niño", venu à l'été 2007 de l'Atletico Madrid, club formateur avec lequel il avait fait ses débuts en Liga à 17 ans, avait séduit Anfield Road en quelques mois, marquant pas moins de 33 buts lors de sa première saison. 

Entretemps, le club de la Mersey a été éjecté du "Big Four" l'an passé et reste à dix points de la zone de qualification pour la Ligue des champions en dépit d'un récent sursaut sous la houlette du nouvel entraîneur Kenny Dalglish. 

Les nouveaux propriétaires américains du LFC ne manqueront pas d'expliquer qu'ils ont misé sur la jeunesse en troquant Torres contre Carroll et Suarez. Mais certains supporteurs des "Reds" y verront peut-être une forme d'acceptation du déclin du club dix-huit fois champion d'Angleterre et cinq fois champions d'Europe. 

Malgré les déclarations d'intention faites lors de leur prise de pouvoir, les patrons ont bel et bien vendu leur plus grande star, l'un de leurs trois seuls joueurs confirmés de classe mondiale avec Steven Gerrard et le gardien Pepe Reina, pour le remplacer par des espoirs ayant encore tout à prouver. 

Pour Chelsea en revanche, il s'agit d'un retour fracassant sur le devant de la scène du foot-business. Le milliardiare russe Roman Abramovich, après une période de relative modération sur le marché des transferts, réaffirme haut et fort son ambition de faire du club londonien la puissance dominante en Angleterre et en Europe. 

Pour faire bonne mesure, Chelsea a aussi recruté in extremis, pour 25 millions d'euros, le défenseur brésilien du Benfica Lisbonne David Luiz. 

Dans l'immédiat, Torres devra aider les "Blues" à assurer leur place dans la prochaine Ligue des champions. Le club est pour le moment quatrième, à dix points du leader Manchester United, et à la lutte avec Tottenham et Sunderland pour le dernier accessits. 

Il devra revitaliser un secteur offensif qui s'est enrayé (27 buts lors des 10 premiers matches, 9 lors des 11 suivants) avant un récent sursaut (6 buts lors des deux derniers matches) à confirmer. 

Reste à savoir comment l'entraîneur Carlo Ancelotti s'y prendra pour faire cohabiter l'Espagnol avec Didier Drogba, qui possède un peu le même profil de buteur puissant que lui, et les autres joueurs offensifs dont il dispose, Nicolas Anelka, Florent Malouda ou encore Salomon Kalou. 

Chelsea doit se déplacer mardi mais le premier véritable test aura lieu dimanche prochain lors de la venue à Stamford Bridge de... Liverpool. 

 

Source: l'express.fr 

Date: 01/02/2011

 

Résumé: voit trés bien dans cet article qu'aujourd'hui on peut d'une certaine façon acheter une personne comme un joueur de football à un prix énorme

17 juin 2011

Des individus prêts à vendre un organe

 

Des individus sont prêts à vendre un organe, à soumettre leur corps au stress d'une intervention chirurgicale majeure et à mettre leur santé en danger, à abandonner une partie vitale d'eux-mêmes, en échange d'argent ou parfois de certains services. Au Québec, au Canada et aux États-Unis, comme dans la plupart des pays, la loi interdit la vente d'organes. Cependant, les candidats à la greffe peuvent tout simplement aller acheter l'organe manquant dans la majorité des cas un rein au marché noir. Les patients, désespérés de la longueur des listes d'attente, se tournent particulièrement vers des petites annonces publiées sur Internet, qui est devenu la plate-forme de choix pour les vendeurs. Pour la plupart des gens qui se cherchent un rein, pas besoin de moyens extrêmes. Il suffit d'avoir accès à Internet et d'inscrire dans un important moteur de recherche : « Kidney for sale, Rein à vendre »

 

 

 

Source: Radiocanada

 

Auteur: Solveig Miller et Nicole Messier

 

Résumé: Cet article nous montre jusqu'où les gens sont capables d'aller avec de l'argent ou pour en avoir. Certains pour obtenir un rein et certains pour avoir de l'argent

 

 

17 juin 2011

Introduction

 L'argent est trés important dans notre société, c'est l'une des préoccupation les plus importantes de population. 

17 juin 2011

Problématique:

Peut-on tout obtenir avec l’argent ?

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